licences de certains de nos médias ainsi que toutes les autres hostilités dont souffrent les journalistes dans la chaire et dans l’âme.
Il n’y a pas plus urgent que cela pour ceux qui n’envisagent pas aller ailleurs et s’obstinent à n’exercer que le journalisme, ce métier noble. Je ne dis pas les stars, je ne parle pas de ceux qui émargent à la fonction publique en tant que fonctionnaires s’il y en a encore, ni de ceux qui ont des agences de communication ou d’autres sources de revenus qu’ils font fonctionner.
Mais si nous posons la question aujourd’hui à certains reporters que je connais, qui vivaient de leur salaire de journaliste, je suis presque sûr que leur réponse serait de demander à tout le monde de baisser les armes et concentrer nos énergies sur la recherche d’une sortie de crise.
Dans une situation comme ça, le bon sens impose à chacun de s’assurer constamment que ses propos et démarches isolées ou collectives, contribuent plutôt à la résolution de la crise qu’à mettre de l’huile sur le feu.
Personne ne doit être comparé à un cochon, personne ne devrait être touché dans son honneur. Même par des simples allusions faites.
Wassalam !
Thierno Amadou Camara
Journaliste