Le ministre des Affaires étrangères, Morissanda Kouyaté, a tranché depuis New York : « Toutes les élections se tiendront en 2025 ». Oubliée la promesse d’un retour à l’ordre constitutionnel en décembre 2024. Cette décision, imposée sans détour, prolonge la mainmise de la junte sur le pouvoir, sous prétexte de garantir des élections « libres et inclusives ».
Un nouveau coup dur pour la démocratie en Guinée, où la transition s’étire sans fin, alimentant frustration et colère dans la population.