Dans une sortie chez nos confrères de France24, le président Umaru Cissoko Ambaló qui accuse l’opposition d’être derrière les troubles, affirme « qu’il n’y a plus de menace » et avoir le contrôle des choses, rapporte Laguinee.info à travers un de ses reporters.

Pour ce mouvement de bottes, le président Ambaló n’a qu’un responsable. Il pointe le doigt accusateur à l’opposition qui, selon lui, « est derrière cette tentative de coup d’État ». D’ailleurs, a-t-il dit, c’est le président du Parlement qui aurait « donné des instructions à la Garde nationale pour aller libérer les ministres ». C’est pour il a dissout l’Assemblée nationale qu’il justifie, par ailleurs, par « crise profonde » dans cette institution.

Rassurant être démocrate, le président Ambaló a promis que les semaines à venir, il y aura « un nouveau gouvernement qui fixera de nouvelles dates pour des élections législatives anticipées ».