Ces dernières semaines, une folle rumeur faisant état de la découverte d’une mine d’or dans la sous-préfecture de Pilimini, préfécture de Koubia, dans la région de Labé a circulé. Ce qui est totalement faux.
Tout est parti d’une information qui ne semble pas être vérifiée, qui s’est emparée du public avec des rumeurs vides de sens en complicité avec des jeunes venus de KOUNSITEL. Il faut préciser que ces jeunes sont rapatriés pour ne pas les laisser envahir PILIMINI avec sa belle terre et détruire son environment.
Il faut dire publiquement et sans risque de nous tromper qu’il n’y a aucune découverte d’or faite chez nous jusqu’à preuve du contraire. Ne contribuez pas à détruire ce qui est de plus belle de chez nous.
Pour le moment, avec l’indifférence du sous-préfet qui semble négliger ce que risque de subir la zone avec ces folles rumeurs, les jeunes du district du centre s’active pour éviter le désastre ÉCOLOGIQUE avec l’appui des ressortissants du secteur de DOGHOL PILIMIN (MARCHÉ).
Aux ressortissants de toute la sous-préfecture de Pilimini de les appuyer pour éviter notre localité d’un désastre jamais souhaitable.
Pour bien sécuriser la zone pour ne pas qu’elle se laisse envahir facilement, je propose :
– Faire des check-points pour empêcher que s’infiltrent des inconnus dans toutes les entrées, avec l’appui des jeunes des différents districts dans les zones stratégiques.
– Exiger au sous-préfet de faire une recommandation pour renforcer la sécurité de la sous-préfecture qui s’expose à un danger sans précédent.
– L’appui de tous les ressortissants, chacun avec ce qu’il peut apporter sachant que des rumeurs peuvent conduire au désastre chez nous.
– Faire un communiqué dementissant l’existence de l’or dans la zone indiquée.
– Appréhender toute personne qui essayerai de s’infiltrer de façon illégale dans la zone.
– Enfin, encourager les jeunes et les orienter stratégiquement…
Je pense qu’il est urgent, voir nécessaire d’étouffer cette affaire d’or à PILIMINI qui reste faux sur toute la ligne. À ces vagues de personnes qui s’y rendent, nous les prions de rester chez eux à défaut, nous prenons nos responsabilités.
Levons-nous il est temps, ne laissons pas chez nous, se détruire. Nous n’avons que PILIMINI en commun.
Mamadou Saliou Bachir Diallo, jeune ressortissant de Pilimini