Parmi ces entités qui ont participé à l’ouverture du cadre de dialogue politique et social, figure le haut commandement de la gendarmerie nationale. Dans son rôle de veille à la sûreté publique et assurer le maintien de l’ordre et l’exécution des lois et règlements, le premier responsable de cette institution s’est dit émerveillé de ce cadre de dialogue qui intervient en tout premier lieu en termes de prévention et de répression sur le terrain rapporte une journaliste de Laguinee.info qui était sur place.«Globalement au niveau de la Gendarmerie il faut d’abord reconnaître que le cadre de cette concertation et de ce dialogue est une première que nous apprécions beaucoup, parce que ça met en valeur tous les acteurs qui sont sur le terrain en terme de transport dans notre pays. Il était question de prévention et de répression sur le terrain. Vous avez suivi chaque fois on parlait d’enlèvement de barrage, aujourd’hui c’est chose faite. Vous avez en dehors des trois (3 barrages filtrants vous n’avez aucun autre barrage sur l’ensemble du territoire national. Deuxièmement, nous avons le numéro 111 qui est mis en œuvre au niveau de la Gendarmerie », a exprimé Général Ibrahima Baldé, le haut commandant de la gendarmerie nationale, directeur de la justice militaire.
Maké Fofana pour Laguinee.info