Le couperet tombe pour des milliers de migrants vivant sur le sol américain. Selon un document révélé par l’US Immigration and Customs Enforcement (ICE), plus de 1.445.549 personnes, originaires de divers pays, sont inscrites sur une liste de possibles expulsions. Parmi eux, 1.897 Guinéens.
Cette décision, qui concerne également des ressortissants de pays comme la Côte d’Ivoire, le Maroc ou encore le Cameroun, suscite une vague d’inquiétude, particulièrement en Guinée, où de nombreuses familles redoutent l’impact direct de ces expulsions.
Pour ces migrants, souvent partis à la recherche d’un avenir meilleur, c’est un retour forcé à la case départ qui se profile. Des rêves brisés, des projets abandonnés, mais surtout des vies bouleversées.
Les communautés guinéennes, aussi bien sur place qu’à l’étranger, s’interrogent : que deviennent ces hommes et ces femmes une fois de retour au pays ? Et quelles sont les mesures prévues pour les accompagner dans cette transition ?
Face à cette situation, les appels à la solidarité se multiplient. « Que Dieu protège nos frères et sœurs », implorent de nombreux citoyens, espérant que la dignité et la justice prévaudront.
Une chose est certaine : cette annonce marque une étape difficile pour les familles concernées et pose de sérieux défis aux autorités guinéennes quant à la gestion de ces retours forcés.
À suivre…
Laguinee.info