lundi, janvier 20, 2025
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Coupe de la Confédération : Simba SC et Moussa « Pinpin » Camara s’offrent une place en quarts !

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Coup de sifflet final à Dar es Salaam ! Simba SC de Tanzanie, porté par un Moussa « Pinpin » Camara des grands soirs, a décroché son ticket pour les quarts de finale de la Coupe CAF en s’imposant avec autorité (2-0) face au Club Sportif Constantinois d’Algérie. Une victoire nette et sans bavure qui confirme la solidité du club tanzanien… et de son mur guinéen.

Un gardien en état de grâce

Depuis le début de la compétition, le portier guinéen Moussa « Pinpin » Camara, ancien du Horoya AC, n’a cessé d’impressionner. Imperturbable, il s’est mué en véritable rempart pour son équipe. Avec seulement 5 buts encaissés en 8 rencontres (préliminaires et phase de groupes confondus), il affiche des statistiques dignes des plus grands. Et ce n’est pas tout : grâce à ses parades spectaculaires et sa lecture impeccable du jeu, Simba SC a enchaîné 5 victoires synonymes de sérénité et de qualification.

Une défense bien gardée, un symbole d’espoir

Face au Constantinois, la défense de Simba SC a été orchestrée avec maestria, mais c’est surtout « Pinpin » Camara qui a joué les chefs d’orchestre. Sur chaque tentative algérienne, il s’est interposé avec calme et efficacité, rappelant à tous pourquoi il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs gardiens de la compétition.

Son influence dépasse les simples statistiques : sur le terrain, il incarne la confiance. Pour les fans tanzaniens, « Pinpin » est bien plus qu’un gardien ; il est un leader silencieux, un talisman pour les grandes soirées africaines.

La suite s’annonce palpitante

Avec cette qualification en poche, Simba SC peut désormais rêver plus grand. Grâce à son gardien guinéen, les Tanzaniens s’avancent en quarts de finale avec le vent en poupe et une défense parmi les plus solides du tournoi.

Le défi qui les attend ne sera pas de tout repos, mais avec un Moussa Camara au sommet de son art, tous les espoirs sont permis. Les supporters tanzaniens et guinéens, unis par leur admiration pour ce « mur de Dar es Salaam », attendent déjà la prochaine bataille avec impatience.

 

Aboubacar Ben Sylla, pour laguinee.info

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