jeudi, septembre 12, 2024
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Macky Sall : le petit roi de l’Histoire!

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Macky Sall, ce nom résonne désormais comme une cacophonie dans les couloirs jadis sacrés de la démocratie sénégalaise. Le président, autrefois acclamé pour son geste de réduire le mandat présidentiel, semble désormais emprunter un chemin bien différent, pavé de machinations et de manœuvres politiques douteuses.

Tel un magicien ensorcelé par le pouvoir, Macky Sall a décidé, comme par enchantement, de reporter l’élection présidentielle. Une décision d’une gravité abyssale, qualifiée par beaucoup de « coup d’État institutionnel et constitutionnel ». C’est comme s’il avait décidé de jouer aux échecs avec la démocratie, mais au lieu de respecter les règles, il préfère changer le plateau de jeu à sa guise.

La tragédie politique se déroule sur la scène sénégalaise, où les acteurs de l’opposition sont traités comme des figurants indésirables, poussés hors du théâtre démocratique avec une brutalité digne des pires tyrans de l’Histoire. On pourrait presque imaginer Macky Sall en train de se parer d’une couronne de lauriers, mais c’est plutôt d’épines qu’il devrait s’entourer, tellement son règne est devenu épineux pour la démocratie sénégalaise.

Les médias, pourtant gardiens de la liberté d’expression, sont censurés et bâillonnés sous le règne de Macky. Les journalistes qui osent souffler le moindre mot de critique sont réduits au silence, jetés dans les cachots de l’oppression. Il semble que pour Macky Sall, la seule vérité qui vaille est celle qu’il écrit lui-même, avec l’encre de l’autocratie et la plume de la tyrannie.

Le report de l’élection présidentielle, annoncé avec l’aplomb d’un monarque, plonge le Sénégal dans les ténèbres de l’incertitude et de la répression. Les rues résonnent des cris étouffés de ceux qui osent encore rêver de liberté, pendant que les élites politiques s’enferment dans leurs palais dorés, indifférentes aux souffrances du peuple.

Macky Sall, en repoussant l’échéance électorale, semble avoir choisi de sortir par la petite porte de l’histoire, abandonnant derrière lui les lambeaux déchirés de la démocratie sénégalaise. Son nom, autrefois promesse d’un renouveau politique, est désormais entaché par le sang des manifestants et les larmes des opprimés.

L’attitude de Macky Sall révèle une obsession maladive pour le pouvoir, une soif insatiable de contrôle et un mépris flagrant pour les aspirations démocratiques du peuple sénégalais. Ses manœuvres politiques sournoises, sa répression brutale des dissidents et son mépris pour les normes démocratiques fondamentales ont terni l’image jadis éclatante du Sénégal en tant que modèle de démocratie en Afrique.

En reportant l’élection présidentielle dans un acte de défi flagrant à la volonté populaire, Macky Sall a montré son vrai visage : celui d’un despote avide de pouvoir, prêt à sacrifier la démocratie sur l’autel de son ambition personnelle. La décision de l’Assemblée nationale sénégalaise, entérinant ce report dans un climat de répression et de tension, ne fait que renforcer les craintes quant à l’avenir de la démocratie au Sénégal.

Il est grand temps que Macky Sall réalise que l’Histoire ne retiendra pas les tyrans qui choisissent de sortir par la petite porte. Son règne autoritaire et antidémocratique ne sera qu’une tache indélébile sur la mémoire collective du Sénégal, un rappel douloureux des dangers de la complaisance face au pouvoir absolu. Que Macky Sall se le tienne pour dit : la démocratie ne sera pas éclipsée par ses manœuvres politiques mesquines.

Il est temps pour Macky Sall de réaliser que la démocratie n’est pas un jeu de pouvoir, où les règles peuvent être tordues et les pions déplacés à volonté. La démocratie est un édifice fragile, construit sur les fondations de la liberté et de la justice. Si Macky Sall persiste dans sa folie autocratique, il risque de devenir le fossoyeur de la démocratie sénégalaise, condamné à errer dans les méandres obscurs de l’histoire, oublié et méprisé par ceux-là même qu’il prétendait servir.

Il est grand temps que Macky Sall réalise que l’Histoire ne retiendra pas les tyrans qui choisissent de sortir par la petite porte. Son règne autoritaire et antidémocratique ne sera qu’une tache indélébile sur la mémoire collective du Sénégal, un rappel douloureux des dangers de la complaisance face au pouvoir absolu.

Il est temps pour Macky Sall de réaliser que la démocratie ne sera pas éclipsée par ses manœuvres politiques mesquines. Que diable, Macky, regarde autour de toi ! La démocratie n’est pas une affaire de tour de passe-passe où l’on peut trafiquer les règles et déplacer les pions à volonté comme dans une partie de Monopoly truquée par un politicien corrompu.

La démocratie est un édifice fragile, construit sur les fondations de la liberté et de la justice. Si Macky Sall persiste dans sa folie autocratique, il risque de devenir le fossoyeur de la démocratie sénégalaise, condamné à errer dans les méandres obscurs de l’histoire, oublié et méprisé par ceux-là même qu’il prétendait servir.

Que Macky se le tienne pour dit : la démocratie n’est pas un jeu de chaises musicales où les citoyens se retrouvent à tourner en rond pendant que le despote joue de sa mélodie autoritaire. Il est temps que Macky Sall comprenne que le pouvoir n’est pas une fin en soi, mais un service au peuple, une responsabilité sacrée qu’il a outrageusement négligée au profit de ses propres intérêts égoïstes.

Il est grand temps que Macky Sall réalise que les louanges de courtisans intéressés ne suffiront pas à effacer les cicatrices de sa gouvernance autocratique. Les murs de l’histoire sont impitoyables et ne se laisseront pas repeindre par des discours creux et des promesses vides.

Que Macky Sall se réveille avant qu’il ne soit trop tard, avant que le peuple sénégalais ne se lasse de ses tours de passe-passe politiques et n’exige le retour à une véritable démocratie où le respect des droits fondamentaux prime sur l’ambition dévorante d’un homme assoiffé de pouvoir.

Il est temps pour Macky Sall de réaliser que la démocratie n’est pas une marchandise qu’il peut acheter avec des faveurs et des pots-de-vin, mais un idéal pour lequel des hommes et des femmes se sont battus et ont parfois donné leur vie. Si Macky Sall persiste dans sa quête effrénée de domination, il risque de devenir le pantin ridicule d’une farce politique dont lui-même sera la risée.

Que Macky Sall se le tienne pour dit : l’Histoire ne pardonne pas les tyrans qui piétinent les libertés fondamentales au nom de leur propre grandeur éphémère. Il est temps pour lui de choisir entre l’infamie et la rédemption, entre la dictature et la démocratie, entre le mépris et le respect de son peuple.

 

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