Dame Issa Béla Diallo, enseignante résidant à la Cimenterie dans la commune de Dubréka, lance un cri de cœur pour une aide en faveur de son fils aîné. En effet, Ibrahima Sory Diallo, lycéen est gravement malade depuis plus d’une année. Sa paralysé est dûe à un coup de ballon qu’il a reçu pendant qu’il jouait au football avec ses amis du quartier. Depuis, le jeune lycéen a perdu l’usage de ses membres. Désespérée, sa mère lancé un SOS pour évacuer son fils à l’étranger comme l’ont recommandé les médecins.
« C’est mon premier garçon, il aime bien le football. Au moment où il se préparait pour le baccalauréat session 2022, il est parti jouer avec ses amis du quartier. Comme il a beaucoup de souffles, l’équipe adverse craignait qu’il marque le but. Donc l’un d’eux lui a donné un coup sur la nuque, immédiatement il est tombé, il s’est plaint de maux de tête, ils ont versé de l’eau sur lui. Mais personne ne m’a dit ce jour.
Quand il est revenu à la maison, il s’est couché et le lendemain il n’a pas pu se réveiller. Il a vomi, il a fait une crise et finalement le vocal est parti. Quand le vocal est parti on l’a amené au service néorologie de l’hôpital Ignace Deen où on a passé deux mois avant d’aller à Jean Paul 2 où on est également resté pendant deux mois. Les médecins ont dit qu’il y a des produits qu’il doit prendre à vie. Avant d’aller à l’hôpital, son côté gauche était paralysé, sa bouche s’était carrément déplacée, mais à force de masser tous les matins 50 fois par jour, elle est revenue à sa position initiale. Maintenant c’est le côté gauche qui est paralysé. Il ne parle plus et il bave beaucoup, c’est pourquoi le mouchoir dans sa bouche.
Nous vivons dans des circonstances très difficiles avec lui. Il ne peut rien faire de lui-même. Je fais tout pour lui. Même pour se mettre à l’aise, si je ne suis pas là, il le fait dans ses habits parce qu’il ne peut pas les ôter. Maintenant sa maladie dépasse nos moyens. Les médecins m’ont dit de l’évacuer en Tunisie s’il y a les moyens mais il se trouve que j’ai épuisé toutes mes économies dans les hôpitaux nationaux. Je n’ai plus rien. Je lance un appel de détresse à l’endroit du président Mamadi Doumbouya, du gouvernement et des bonnes volontés. S’ils voient mon message, qu’ils sachent que c’est le cri de cœur d’une mère désespérée. Je souhaite voir mon fils rétabli. Cela fait un an que je déambule entre les hôpitaux et l’indigenat. C’est mon premier fils. Très difficilement j’arrive à concilier mon travail d’enseignante et sa maladie » a lancé Dame Issa Béla Diallo, joignable au
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