samedi, novembre 23, 2024
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Tribune : quelque chose malheur est bon !

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Au terme de cette visite éblouissante, des rites magiques dans le royaume de (Kin), le choix était entre la révélation du pèlerin ou son silence. Où _ On découvrira enfin comment Amadou Diaby est devenu le prince de Kin. À certains, cet article paraîtra trop louangeur. D’autres le trouveront injustement critique. Pour me tenir à égale distance de ces deux écueils, j’ai choisi de faire n’être la vérité singulière, loin de la comédie infondée de la presse. C’est pourquoi, on y trouvera des phrases parfois magnifiants sa réussite, parlant de sa grandeur, et surtout les mesquineries malsaines dans le seul but de nuire à son image. Sans oublier, les milles anecdotes du vice-président de la fédération guinéenne de football (Sega Diallo) qui forment la trame du séjour _ est mis ici à la disposition du bien-être des lecteurs. Et, par dessus, c’est une occasion de présenter la capitale de Kinshasa dans son quotidien, en passant par sa vaste superficie, et de sa grande population, telle est l’ambition, la toile de fond voir même la quintessence de cet article.

Kinshasa une capitale si heureuse que, les dollars américains coulent à flots dans la nature, chaque soir, des milliers de Boîte de nuit sont ouvertes, des millions de gens rieurs et insouciants. Un aéroport si difficile à franchir, si assure de contrôler chaque entrant au moindre détails, qu’on a l’impression de faire à la police aux frontières Suisse. Une capitale si sublime, par ses paysages, ses immeubles, ses monuments, son niveau de vie, sa cuisine, sa liberté de s’habiller, de parler lingala avec fierté, que chaque capitale de l’Afrique Centrale le sait, l’admire, et le jalouse.

Portrait d’Amadou Diaby

À kinshasa, l’homme aux tambours d’acier, admiré par les kinois et kinoises n’a rien à voir avec l’homme de Guinée, rejeté, fragilisé, redouté, poursuivi et enfin perdu.
…Après tout ce qu’il a vécu dans le passé en Guinée, des mois de chagrin, des vagues de rumeurs, des adjectifs négatifs de la presse, voici venu le moment de présenter le vrai visage de cet homme élégant au grand cœur et au charisme. Avant d’aller plus en avant, je voudrais lui adresser mes chaleureuses félicitations à notre compatriote Amadou Diaby qui s’est livré à une bataille de réussite exemplaire au Congo d’une rare justesse et railler certaines polémiques sur lui. Je ne lui fais pas grief d’un marketing congolais mais plutôt je cherche à démontrer l’originalité de sa démarche pour atteindre une telle réussite. Pourquoi ? Nous Guinéens sommes habitués à nous étriper, nous jeter des anathèmes, nous dénigrer, bref, nous auto-flageller. Chez-nous, la réussite d’un compatriote ne constitue que rarement un motif de fierté pour les autres. Aujourd’hui, presque le Congo est entrain de construire un panthéon pour Amadou Diaby, pour lui récompenser des services particulièrement honorable rendus à son pays maternel. Pour n’en citer qu’un : le concert musical 4 × 4 de Wenge Musica, en cours.

Pourquoi faut-il que les gens meurent pour qu’on les reconnaissent tant de qualités humaines, de droiture, de sens du patriotisme ? Car, Amadou Diaby a fait beaucoup plus que représenter la Guinée. Il a su aimer ce pays assez pudiquement pour qu’il lui  » Veuille du mal, comme certains ont voulu le faire entendre ».
Amadou Diaby, ainsi dira le pèlerin, est un homme d’influence : Vigile de sa résistance, jamais résigné à sa défaite. Prince du palais présidentiel de Kinshasa, aventurier du monde, écouté des hommes de pouvoir sans jamais en être un lui-même ; il a toujours vécu dans l’ombre des présidents, qui à chaque fois lui place plus haut que tout. Il faut simplement noter que c’est un vrai homme de séduction sur ces autres hommes qui prétendent, eux, avoir du pouvoir sur les choses. Son sens de l’intérêt général et son goût avéré pour le réveil rigoureux ont fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Un homme d’influence au sens pragmatique du terme. Un homme a nul autre pareil capable d’affirmer de s’affirmer dans un monde imbibé de fourberie de toute sorte. Un prophète n’est jamais apprécié chez lui ! Diaby a su faire preuve de sagacité en se réinventent dans ce qu’il sait faire de mieux ! Le travail. Le travail bien fait. Le courage et le sens du service demeurent des qualités qu’ils conservent à la perfection…

Oumar Baguissa

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