samedi, novembre 23, 2024
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Antonio Souaré, fils de ses œuvres, clair comme le jour et victime de sa prodigalité (Édito)

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Malgré les articles à charge dressés contre lui, Antonio Souaré est clair comme de l’eau de roche.
Certes qu’aucune gestion humaine n’est détachable de tout soupçon, et que tout gestionnaire public a l’obligation de rendre des comptes mais il serait inconcevable de garder le silence face à un jeu de massacres visant un homme dont la probité morale ne souffre d’aucun doute et dont le charme de la personnalité mérite un respect absolu.
Vu le nombre incalculable de son investissement dans le pays, Antonio Souaré est l’exemple le mieux abouti du serviteur dévoué et du nationaliste convaincu qui n’a de vocation particulière que de rendre service aux autres tant que faire se peut.

« Tant que le cœur me battra, tant que Dieu me donnera les moyens, je les partagerais sans condition pour cette jeunesse guinéenne », a affirmé l’enfant né de la bonne famille de Wondima.

Antonio Souaré ne cache pas un cadavre dans son placard.
Il a la main propre comme un œuf blanc qu’aucune cabale comme un pet sur une toile cirée ne saura ébranler ni salir.
Antonio n’est redevable à personne et ne craint de rien, cependant, aucune élucubration à son encontre ne restera intolérable.
Sa gestion à la tête de la FEGUIFOOT a toujours été félicitée par la FIFA à chacune de ses missions d’inspection déployée en Guinée. Alors, ne cherchez pas des poux sur un crâne rasé.

Il vous sera très difficile de détruire cette belle réputation dont le nom mérite une inscription en lettre d’or dans le registre historique des dignes patriotes de la République.
Pourquoi toute cette haine et toute cette méchanceté humaine ?

Pourquoi vouloir éteindre tout célébrissime avec des mensonges ?
Dans ce monde de mépris, où l’on juge sans esprit, et où, on condamne sans crime, vous ne cesserez d’être la victime d’un temps qui n’existe plus en étant qu’acteur du seul moment qui vous appartient.
Ce, malgré son départ accepté de la FEGUIFOOT, l’homme est titillé dans ses moments de méditations où, il a besoin d’échanger avec lui-même et de se donner un nouveau challenge.
Prenez sa place, ne salissez pas son honneur et collez à Antonio la paix !
Ne dit-on pas que : « la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe ».

Oumar Barry

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